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Tombouctou

10 000 personnes déplacées à Goundam,

5000 à Tonka…

 

 

Les zones plus reculées de la région de Tombouctou, au nord du lac Faguibine, se dépeuplent pour des raisons liées à la sécurité et à la sécheresse.

 

 

De plus, dans des villes telles que Gargando, des personnes s’étant réfugiées en Mauritanie voisine pour fuir la guerre reviennent peu à peu dans leur zone d’origine.

Ils n’y retrouvent pas tous leur maison,

leurs terres, leurs bêtes…

 

 

 

 

Les traumatismes subis par toutes ces populations sont lourds.

 

 

La plupart hésitent à rentrer chez eux, même si la guerre venait à s’apaiser bientôt.

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Assetou est déplacée à Diré. Mère de famille, elle peine à assurer des conditions de vie dignes pour les siens, au point de ne pas pouvoir nourrir convenablement ses enfants.

 

 

 

Aujourd'hui, elle consulte le centre de santé pour faire dépister son enfant de la malnutrition, un véritable fléau dans cette région.

"Quelqu'un qui n'a pas une bonne eau

est toujours malade."

-- Le Maire de Tonka

De milliers de déplacés venant de la région du Lac Faguibine se sont installés dans les alentours de la ville de Goundam ainsi que dans la commune de Tonka.

 

 

Ces déplacés ont perdu leurs moyens d'existence et ont aujourd'hui des besoins humanitaires de tous types : alimentaires, abris, accès à l'eau potable...

Ils sont 13 000 à avoir fui les violences à Gargando et à s'être réfugiés en Mauritanie, laissant tout derrière eux.

 

Maintenant qu'ils peuvent revenir, leur terre ne leur a rien laissé.

"Tout ce que l'on demande, c'est de l'eau."

 

-- Hamidou Ag Saïd,
retourné à Gargando

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"On voit l'eau sale de nos propres yeux à présent."

 

 

-- Baba, Harba, pêcheur

Le Lac Faguibine est la seule source d'eau pour de nombreuses communautés de la région de Tombouctou, qui le partagent avec leurs animaux. 

 

 

L'eau du lac est turbide et, si elle n'est pas traitée, est vecteur de maladies pour toutes les populations.

 

 

L'installation par les équipes de SOLIDARITÉS INTERNATIONAL de stations de filtration Veolia a déjà permis à de nombreuses familles de boire une eau potable et dépourvue de maladies.

En plus des problèmes structurels tels que l'accès à l'eau, les populations de la région de Tombouctou font face à l'extrême pauvreté.

 

 

Afin de renforcer la résilience des ménages les plus vulnérables, SOLIDARITÉS INTERNATIONAL apporte un appui concret en termes de ressources monétaires pour leur permettre d’accéder à une alimentation en qualité et en quantité suffisante et de limiter le phénomène d’endettement. 

"Les populations pauvres et les plus vulnérables à l'insécurité alimentaire et aux risques de malnutrition doivent faire face à leurs besoins de base et retrouver une activité productive."

 

 

-- Caroline Courtois, responsable géographique pour le Sahel

 

Suivez à présent le parcours des populations de la région de Kidal

 

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